20 research outputs found

    Handlungsspielräume, Netzwerke und das implizite Wissen der Beamten

    Get PDF

    Roma locuta - causa finita?

    Get PDF

    Handlungsspielräume, Netzwerke und das implizite Wissen der Beamten

    Get PDF

    Roma locuta - causa finita?

    Get PDF

    Die karriere des Staatssekretärs: das Schicksal des Nepoten?

    No full text
    Käme ein Hollywood-Regisseur auf die Idee, die Forschungsliteratur zum Verhältnis von Staatssekretär und Kardinalnepot zu verfilmen, der Titel seines Werkes würde wohl lauten: «Kampf der Giganten». Auf der einen Seite: der Kardinalnepot, ein Neffe des regierenden Papstes, der zwar keine Qualifikation außer seiner Verwandtschaft mit dem Pontifex zu bieten hatte, dafür aber einiges erhielt: nicht nur den roten Hut und Geldquellen jeder Art, sondern auch die Leitung der wohl wichtigsten kurialen..

    "Der Hof ist die Lepra des Papsttums" (Papst Franziskus) : Patronage und Verwaltung an der römischen Kurie der Frühen Neuzeit

    No full text
    Im Oktober 2013 erschien in der italienischen Tageszeitung La Repubblica das Transkript eines langen Gesprächs, das Papst Franziskus kurz zuvor mit dem italienischen Intellektuellen (und atheistischen Zeitungsgründer) Eugenio Scalfari geführt hatte. Zeitgleich, d. h. am Tag der Veröffentlichung, traf der erst sechs Monate zuvor gewählte Papst im Vatikan erstmals mit den acht Mitgliedern des von ihm neu eingesetzten Kardinalsrats zusammen. Dieser Kardinalsrat fungiert als Beratergremium; er soll Vorschläge für die Reform der Kirche und der Kurie ausarbeiten. Dass er gerade mit Blick auf die Kurie einen massiven Bedarf an Reformen sieht, brachte Franziskus auch in besagtem Interview zum Ausdruck. ..

    Frühneuzeitliche Staatsbildung und politische Kultur : für die Veralltäglichung eines Konzepts

    No full text
    Que doit nous apporter une histoire culturelle (Kulturgeschichte) du politique ? Elle ne doit pas se laisser réduire à une science sectorielle, découpée sur le modèle du camembert statistique, mais nous ouvrir, au contraire, une perspective vers le global. Ce « global », que l’on peut assimiler de façon assez vague au politique, elle ne doit pas seulement le présenter sous un autre éclairage, mais aussi l’expliquer de façon plus satisfaisante que les approches conventionnelles. Et elle devrait s’aventurer dans les domaines plus « durs » de l’histoire politique et de l’histoire constitutionnelle, c’est-à-dire des processus macro. C’est à un tel processus macro-historique, qui appartient de surcroît aux thèmes classiques de l’histoire politique et de l’histoire constitutionnelle, que je m’intéresserai : à la formation de l’État, plus exactement, à la formation de l’État au niveau provincial, et particulièrement à ce que l’on pourrait appeler l’intégration territoriale, soit l’annexion de territoires nouvellement acquis. Cette intégration territoriale est un processus fondamental dans une histoire marquée par la régression du nombre d’États en Europe à l’époque moderne : des plus de 500 entités politiques indépendantes que comptait l’Europe au début de l’époque moderne, il n’en restait plus que 25 en 19001. Les autres, soit tout de même quelques centaines d’États, ont été « avalés » par les vainqueurs dans cette course à la résorption étatique : tout d’abord prise de possession par mariage, héritage ou conquête, puis intégration dans les structures du système de domination existant. Mais le fonctionnement de cette intégration n’a guère été étudié pour le début de l’époque moderne. A fortiori, la littérature disponible sur ce thème ne propose aucun modèle permettant d’expliquer ces processus à leurs différents niveaux. La responsabilité en revient à un modèle micro-macro classique, que l’on ne peut résoudre, telle est ma thèse, que par une histoire culturelle du politique, plus exactement par l’élargissement de la recherche conventionnelle grâce au concept de culture politique. ..

    Gnadenmaschine Papsttum. Das römische Supplikenwesen zwischen Barmherzigkeit und Bürokratie. Beiträge zur Rechtsgeschichte Österreichs|Beiträge zur Rechtsgeschichte Österreichs Band 2 / 2015|

    No full text
    This paper addresses the Early Modern papacy’s system of dealing with supplications (Suppliken). In the first part, the paper gives an overview of the papal stance towards supplications and points out why the papacy can justly be called a ‘grace machine’. In a second step, these general observations are followed by a specific analysis which takes a look inside the grace machine itself, so to speak, by reviewing sample supplications and briefs of grace (Gratialbreven) concerning the province of Ferrara during the pontificate of Pope Paul V (1605–1621). These sources shed light on the Pope’s role as territorial prince and on Rome’s stance towards the subjects’ petitionary letters in general. As it turns out, the dual character of the papacy – with its secular and spiritual spheres – shaped the policy towards supplications within the Papal States profoundly. Even though the subjects’ supplications were addressed to the Pope as the head of the Catholic Church, they also touched on issues of public administration, which in turn rendered those letters a concern of Rome’s bureaucratic apparatus. At the same time, however, since the cardinalnephew acted as the agent of papal grace, acts of grace of all kinds could easily be portrayed as acts of favor granted by the ruling family in order to commit the recipient to loyalty and allegiance. Thus, supplications addressed to the Pope had not only a religious-ecclesiastical dimension, but were also a political medium of communication between the ruler and his subjects

    Review

    No full text
    corecore